Ici aucune limite....;)

Lutine sourit, merci monsieur, votre voix ne mets pas inconnu, dite moi si l'on c'est dejà croisé ???
A votre santé...

Elle observait la scène sous ses yeux non sans rire intérieurement....

Commence vraiment a croire en leur bonheur.....la regarde ne l'avait jamais vue aussi heureuse.....Lui repond ...c'est un compliment....puis lui murmure.....je considere ceci....l'attire contre lui....comme une invitation.....se colle a elle....soudain elle le regarde surprise et devient rouge....en sentant son corps contre le sien....je t'aime ....l'embrasse dans le cou...

Attirée contre lui... Hélène l'embrasse tendrement...Une invitation ?...sourit, pense qu'elle va devoir une fois de plus lui montrer les coins sombres de ce château^^
...l'embrasse sur le cou...puis lui murmure...considère que l'invitation est pour de suite...l'embrasse passionément sur les lèvres... je t'aime aussi mon coeur...

Paris sent battre le coeur d'Hélène.....se demande si ...lui pose la question...Je t'etouffe...tu veux que nous allions trouver d'autres personnes et liéer connaissance ?...L'embrasse sur le visage.....je ne voudrais pas te brider...pense a l'invitation...La suite, je suis patient.....pense qu'ils vont rentrer chez eux plutot que prévu....sourit

Garçon, 2 verres illico presto !

Une fois les 2 coupes en mains, le soldat se met à arpenter la salle, à la recherche d'une partenaire...

Est surprise par ce qu'elle vient d'entendre...mais non au contraire^^...je suis bien avec toi...l'embrasse tendrement...je préfère rester et profiter de toi...les autres, c'est pas important...lui caresse les cheveux, le regarde tendrement et lui sourit...chaque moment que je passe avec toi est une joie sans fin...l'attirant ensuite vers la sortie de la salle... je veux passer un moment seul avec toi avant de rejoindre les autres...je t'aime...

Arrivant au bar dans les ailes d'un gallinacé géant, elle se dit qu'ils devaient avoir l'air d'un bien étrange équipage.... Mais soit! au moins cette situation, aussi cocasse fût-elle, offrait-elle à ses pauvres pieds un peu de répit...

- Bon, ne me lâchez point, je vais me pencher pour attraper deux verres et... heu... que voulez-vous boire au fait? Moi, j'opterais pour de la prune...

Poulet arriva de nouveau dans le bar en compagnie de sa charmante cavaliére.
Juste de passage pour prendre de quoi boire,ils se dirigérent vers les bouteilles

Je ne vous lacherez à aucun moment.

Euh oui de la prune pour moi aussi ce sera parfait

Il la pencha un petit peu pour qu'elle puisse prendre les verres et une...ou deux bouteilles de prune.
Puis ils partirent en direction de la tablée car aprés une danse aussi endiablée que celle qu'ils venaient de faire,leur estomac criaient famine

hop hop hop deuxiéme etape de notre voyage,c'est parti...

On croit qu'il erre, hagard, il n'en n'est rien. Il cherche obstinément quelqu'un.
Il trouve alors une jeune demoiselle. Il s'approche timidement, lui tend la coupe et la regarde en souriant.

Bonsoir Ephemere, je crois avoir trouvé en vous celle que je cherchais...

Ephemere était revenu au bar ne trouvant personne qui puisse l'aider a trouver son chemin dans l'autre salle.

Elle vit approcher vers elle un homme avec un verre, lui souriant elle lui répondit :

Bonsoir, je sais pas si je suis celle que vous cherchez, mais je suis là moi... Alors ma foi, cherchons ensemble ce que nous avons envie de trouver...

Elle porta la coupe a ses lèvre tout en lui murmurant a votre santé, déposa ses lèvres doucement sur le bord et bu !!!

Finalement les bals masqués n'ont qu'un seul intérêt : on peut vivre devant la foule ce qui serait impossible sans nos masques. Je dis cela car je vous ai reconnu, et vous aussi il me semble. Votre démarche m'est familière, et si je me trompe ma foi, autant en profiter avant de découvrir s'être trompé.
Que diriez-vous d'aller danser quand nos coupes seront vides ?

Il releva son heaume, mais sa cagoule de maille masquait encore considérablement son visage, ne laissant apparaitre que ses yeux son nez et sa bouche. Il pu ainsi boire sa coupe sans tenter de faire passer le liquide à travers son heaume.

Elle sourit a la remarque du qui est qui... Vous ai-je reconnu ?

Croyez vous me connaissant que j'aurais commencé une conversation avec vous de cette façon un peu cavalière, en laissant planer un doute sur qui j'attendais.
Et surtout en me presentant juste le dernier jour, afin de me faire découvrir de personne sauf de vous^^...

Elle continua a sourire et a boire, ma foi cette soirée ou nuit plutot s'annonçait délicieuse.
Oui je serais ravie de vous accompagner dans la salle de danse après se rafraichissement qui m'a permis de ne pas m'envoler trop rapidement et surtout de vous trouver...

Elle posa délicatement sa main droite sur son bras afin d'être sur de ne pas rever, et d'être enfin auprès de lui, même si ce n'était que l'espace de quelques heures.

Il saisit sa main dans la sienne et la pressa contre son cœur. Il frissonna, vida sa coupe et contempla la femme en souriant.
Il attendit un instant puis déposa les 2 coupes vides sur le comptoir et entraina la jeune femme vers la piste de danse, main dans la main, une autre sur ses fines hanches.

On y va ? lanca-t-il d'un air complice.

La jeune femme se rendit au bar. Plusieurs personnes y étaient présentes. Certaines n’étaient pas trop en forme d’autres beaucoup trop, tout cela à cause des effets de l’alcool…

La sorcière s’approcha du comptoir avec difficulté. Après avoir traversé la foule, elle s’accouda au bar et demanda une petite prune. Le tavernier lui servit. Elle but le verre d’une traite et en redemanda un autre tout de suite. En buvant ses verres, elle se demandait pourquoi elle était venue à cette soirée. Tout le monde avait l’air de s’être déjà vu mais elle ne connaissait qu’un homme et il était avec sa bien aimée. Elle se retrouvait donc seule…

Hélène avait parcouru toutes les pièces seules...pensant à ce qu'il venait de se passer...elle entra dans le bar, se mît près de cette femme...une autre sorcière...elle demanda au tavernier un verre...le prit ...elle regarda devant elle, comme si elle n'avait pas remarquée sa présence mais pourtant, elle l'avait scrutée du regard en arrivant...elle prend une gorgée, elle se mît à parler...

- Il a fallut que tu vienne...

Reprit une autre gorgée, attendant sa réponse...

-Excusez moi Madame, puis je savoir à qui vous parlez ?

La jeune femme ne comprenait pas ce qui se passait, elle était tranquillement assise entrain de boire son verre en pensant à un homme. Elle n’avait rien demandé à personne quand celle-ci est venue l’agresser. Elle se trompait peut être. Cette dame parlait peut être à la personne qui était assise de l’autre côté d’elle. Mais elle voulait savoir c’est pourquoi elle lui répondit.

Elle sourit...continue de boire son verre...puis se retourne vers elle.

- Je ne sais pas pourquoi tu ou vous puisqu'on va tenir aux convenances... Ce que vous faîtes-là mais ...réfléchit...elle se lève et s'approcha d'elle en lui murmurant...à l'oreille...

Puis, partît en laissant son verre à moitié vide sur le comptoir... préferant aller voir les gens danser que de rester avec elle et noyer son regard dans l'alcool...

La jeune femme rattrapa cette dame par le bras. Elle voulait savoir pourquoi elle était là, elle allait donc lui dire, autant être honnête jusqu’au bout. Elle aurait préféré parler à une autre personne mais ce ne fut pas le cas.

- Je suis venue ici parce que l’homme que vous aimez m’a parlé de ce bal. Mon but était de le revoir et de lui dire ce que je ressens. Comme vous le devinez sûrement sinon vous ne seriez pas là à me parler. J’allais le faire quand je vous ais vu ensemble entrain de danser. J’ai pensé à faire un scandale en venant lui dire tout ce que j’ai sur le cœur. Mais votre amour semble si fort que je n’ai pas pu.

Des larmes coulaient sur son visage faisant stopper son discours. Elle reprit sa respiration et continuait :

- Je ne voulais pas vous déranger. Mais vous, vous avez préféré venir me chercher. Vous avez le droit au bonheur alors pourquoi venez vous me voir ? Oh et puis laissez tomber, ne vous préoccupez pas d’une pauvre imbécile comme moi, je m’en vais...