Ici aucune limite....;)

Elle le vit rentrer beau, fière et d'un pas sur, il vient s'agenouiller devant elle.
Ephemere ne put que sourire elle était heureuse, oui tellement heureuse...

Je serais ravie de me sentir enlacer dans vos bras au son des notes de musiques, je serais ravie d'etre bercer par vos doux mots au rythme de vos pas, oui je serais ravie de tout cela.

Elle le fit se relever, et lui tendit la main en le fixant d'un regard langoureux...

Hélène ne comprit pas pas son atittude elle regarda Paris, Aladdin venait de s'adresser à lui. Elle pose son verre sur la première table qu'elle voyait puis retourna les voir. Elle posa à son tour sa main sur le bras de Paris, les yeux intrigués...

- Je...Je...tremble ne sait plus ce qu'elle veut dire puis lui dit directement...il veut ma chaîne.

Paris regarda Aladdin, dans ses yeux celui-ci pouvait lire l'incompréhension la plus totale. de Paris.....Il venait de vivre, de faire des decouvertes ......là, il n'arrivait plus a comprendre de quoi parlait Aladdin ....Il avait un mal de tête pas possible. Il regarda Aladdin

Pardon? Je ne vous comprend pas...de quoi parlons nous ?

Il sent la main d'Hélène sur son bras.....La chaîne ?...Regarde Aladdin.

Pourquoi? Je lui en ai fait cadeau, vous n'avez aucun droit sur cette chaîne...ni sur autres choses d'ailleurs......Sur un ton ferme....Messire, merci de nous laisser, bonsoir!
Il serre la main de Héléne et commence a se diriger vers la sortie....

Il s'approcha encore un peu plus près. Il fixa son regard dans le sien puis très délicatement l'embrassa. Il ferma les yeux tant ce moment était fort. Non il n'avait pas rêvé la veille : elle l'avait bel et bien embrassé et aujourd'hui il le lui rendait. Sa main se posa sur son genoux, glissa sur sa cuisse puis en passant derrière, sur les fesses, il la laissa s'attarder sur ses hanches dénudées dont la douceur fut savoureuse.

Je t'aime... J'ai envie de toi.

Ephemere fut fort troublé a ces mots, elle continua de le fixer...
Elle avait trouvé son baiser très doux et elle aurait aimé se noyer dans ses yeux, mais ses paroles si fortes de conséquences l'interpellait, ses mains courraient sur ses jambes et elle se sentait toute chose...

Je ne sais quoi te répondre mon tendre, je crois rever, mais tu es la en face de moi, je sais plus, je ne sais pas, vous, euhhhh tu me troubles tant et tes paroles sont si douces.............

Elle pris ses mains dans les siennes, baissa les yeux sourit amoureusement...

Il sourit, devant l'incompréhension du nouveau venu.
Il écouta ce qu'il avait a lui dire, puis, alorts qu'il prennait congés au bras d'Hélène, Aladdin décida qu'il n'en n'avait pas fini, pas cette fois.

Messire, je vous prie, lui dit il d'un ton moqueur, en s'interposant entre eux et la sortie.
Ne soyez pas si pressé, j'aimerais que nous discutions.

Il lui désigna une table à quelques mêtres d'eux, et s'avanca de lui pour lui murmurer:
Voyez vous, ce pendentif, le temps de quelques semaines, fut en ma possession... Disons, par hasard... Chance ou malchance, qui sait?
Un étrange sourire se dessina sur ses lèvres.

Il accompagna le couple a la table.

Paris s'arreta ....regardant Aladdin sous un autre jour, reflechit vite et se dit que Aladdin, c'est...sourit.....tiens toujours Héléne par la main, mais se positionne entre elle et l'homme

Merci mais ici debout cela me convient......Si vous avez eu cette chaîne qui m'appartient depuis Constantinople.....Vous étes donc un voleur Messire...Messire comment?

Il fit signe au tavernier qui leur apporta verres et bouteilles.
Merci. Un seul suffira, pour la Dame, lui dit il.

Il lui servit un verre, et tout en lui souriant, le lui tendit.
Puis il prit une position déterminée, s'avanca en direction de Pâris.

Les deux hommes se regardaient sans cligner des yeux cherchant dans le regard de l'autre une faille.
Puis Aladdin brisa a nouveau le silence:
Ne me dites pas que vous ne savez pas qui je suis... Je vous croyais plus observateur.
Et quant à ce collier, vous avez bien une idée de quand et par qui j'ai pu l'avoir, n'est ce pas... Messire Shimir...

Aladdin tomba son masque lorsque Pâris le reconnut enfin.

Celui ci n'a plus de raison d'être, maintenant que vous savez, comme tous ici, qui je suis.
Du moins, en partie.

Il regardait Pâris avec une violence dans le regard indescriptible, et tout autant, gardait son calme.

Je vois que vous commencez maintenant a saisir.

L'homme palissait à vue d'oeil. Encore quelques minutes, et il lui annoncerait ce qu'il s'est passé, cette nuit du mois de juin, dans les sombres ruelles de Nantes, alors qu'il errait en vain pour échapper à sa douleur, à son passé, à sa hantise d'avoir perdu tout ce qui lui était cher... Son père, il y a de cela des années, sa femme, quelques mois plus tot, et ensuite...

Et je crois que vous avez tort, concernant nos droits a tous.

Le couple le regardait en cherchant à comprendre ce qu'il voulait dire.
Si je n'ai le droit de prendre votre bien, alors pour qu'elle raison avez vous pris le bien d'autrui, et par la même, le mien?

Il regarda jerrylee.....il 'approcha de lui avec sur son visage une expression de haine, il commencait ar éaliser le pire....il donna un coup sur le torse de Jerrylle de la paume de sa main

Arretons c'est enfantillage, je ne t'ai rien pris....le repousse une nouvelle fois...comment connais tu mon nom?...répond, je perd patience...

Il le repoussa une premiere fois de la paume de la main. Jerrylee accusa le coup et recula d'un pas.

Arretons ces enfantillages, je ne t'ai rien pris, commenca t'il.

Il le repoussa une seconde fois, Jerrylee ne riposta pas, se contenant de faire front.
Comment connais tu mon nom? continue t'il, puis l'ordonne de répondre.

Il s'apprete alors à lui donner un troisieme coup au torse, mais Jerrylee se glissa sur le coté, lui saisissant le bras de la main gauche.
Leur tete à meme hauteur, Jerrylee s'approcha de son oreille, et lui murmura:
Ca ne sera pas aussi simple avec moi que ca le fut avec Onduran.

Il le repoussa violemment.
Manifestement, les effets de l'alcool se faisaient ressentir sur son opposant, qui était moins précis et rapide ce soir. Un atout pour Jerrylee.

A bonne distance l'un de l'autre, il lui tendit le poing, et ouvrit sa main, dévoilant une chevaliere, ornée d'un O gravé en caractère gras.
Je l'ai reprise à votre ami Falam, alors qu'il vantait vos mérites pour ce que vous aviez fait.

Il cracha au sol.
Que son corps pourrisse comme l'était son coeur.

Tout alla tres vite. La colere aidant, ilesquiva un crochet de son opposant, et parvint a lui décocher un uppercut. Lorsqu'il l'eut enfin mis a terre, il saisit une bouteille, la brisa, et tenta de lui traverser le corps avec le tesson.

Tu vas payer pensa t'il.

Mais malgré l'acool et ses effets, Pâris était déja debout, et lui assena un coup dans le visage.
Fort de son jeune age, Jerrylee parvint à le repousser d'un coup a l'estomac, mais se retrouva finalement au sol a son tour lorsque Pâris le repoussa.

Au sol, il mit quelques secondes à remettre ses idées en place, s'étant cogné à une table, cette dernière ayant cédé sous son poids et le choc cumulés.

Jerrylee se releva douloureusement, et porta la main a sa poitrine, d'ou le sang de son dernier souvenir de patrouille commencait à pleurer.

Il chercha, puis regarda Hélène en souriant:
Il semblerait que j'ai encore besoin de tes services, ma belle.

Il mit finalement un genou a terre, ce dont profita Pâris pour reprendre son souffle.

Une main sur une table, l'autre sur sa poitrine, il se releva et fixa son adversaire:
il va falloir en finir maintenant... Kazert...

Il y avait de l'électricité dans l'air, semblait-il... On était loin de ce petit moment hors du temps qu'elle venait de partager avec son cavalier. Elle avait reconnu deux des protagonistes parce qu'ils étaient déjà passé dans sa taverne, mais sans les connaître plus que ça... Elle glissa à l'oreille de son poulet

- Vous les connaissez?

Elle s'approcha de Jerrylee, en constatant sa blessure....elle s'était réouverte et avait même empirer, le regarde triste et intriguée :

- Je te l'ai dit la dernière fois, je ne veux pas te faire de mal mais là tu le touche, et en le faisant tu me touche par la même occasion. Je ne te laisserais pas le massacrer.

Regardant toujours sa blessure :

Laisse nous partir, ce n'est pas un combat égal,regardez-vous, Vous n'êtes même pas en mesure de vous battre. N'importe qui pourrait vous achever de suite.
Je crois qu'on a tous eu notre dose pour ce soir.
Que l'on a eu notre dose tout court, trop de sang à couler, trop de souffrance vous a aveuglez.

Cette fois-ci je ne te soignerais pas, je ne le peux pas...pas pour...se retourne et le regarde aussi blessé puis se reprend... pas pour Kazert.

Elle rejoigna Kazert qui était debout et blessé, mit son bras autour du cou et l'aida à marcher.

- Mon ange, ça va aller... on rentre.

Il l'entraina dans un coin un peu plus tranquille.
Derriere la bar.

Il ne voulait pas qu'il lui arrive quoi que ce soit donc ils s'asseyerent tout les deux, a l'abris derriere le comptoir...

Je les connais oui.
un plus que l'autre d'ailleurs.
Je l'ai ai connu a la caserne.
l'un est soldat et l'autre ancien mestre de camp.

Je suis un peu curieux...même trop curieux.

un sourire s'esquissa sur ses levres

c'est pour cela que ce bruit m'inquietais.
Mais si vous voulais qu'on retourne au balcon pour etre plus tranquille on peut.

mais j'aimerai vous demander quelque chose...Comment vous vous appelez?

- Ho, je comprends que vous vous soyez inquiété, dans ce cas... Restons ici, ça ne me dérange pas, et ca vous permettra éventuellement d'intervenir avant que ça ne dégénère, afin d'éviter que ces deux coqs ne s'étripent en plein milieu du bal...

Elle sourit lorsqu'il lui posa directement la question de savoir qui elle était... Bah, il était plus que tard, le bal touchait à sa fin, et elle avait de toute façon eu le dessus () en le démasquant avant lui...
Elle se pencha sur son oreille et lui murmura


- Alcyone

Le poulet lui prit la main et y deposa un doux baiser.
Puis il se presenta.

Bonsoir jolie alcyone.
Enchanté de faire votre connaissance
Je me presente, Breccan.
Pour vous servir.

Puis il ota son masque pour devoiler son visage a la demoiselle.

ça l'air de s'etre calmé on dirait...

vous voulez un autre verre?
on a le choix la

rigole

Il reprenait son souffle ....releva la tête a son nom.....Oui , finissons en ! Cela sera avec le plus grand des plaisir de rendre justice.....Il regarda Hélène.....puis Jerry.....Elle n'est pas ta belle ...alors arrete de l'appeller de la sorte....Il regarde Lilynight s'approcher de Jerry, se dit que si il la touche .....se tient les cotes, et a mal partout! Il sent que sa blessure a l'épaule s'est réouverte une énieme fois! Il regarde Jerry avec plein de haine...
Falma etait honnete et droit, un vrai brave, pas un assassin comme toi! Il a mis sa vie en danger plus d'une fois pour moi....j'arrive pas a comprendre comment tu as pu le tuer...a moins que lu la ennivré ......

Je demande réparation pour mon ami.....je suis clement avec toi, je te laisse choisir la date, le lieu, et quelle sorte de duel tu souhaites...pour ma part c'est a mort...la tienne assassin. Dit il en haussant le ton
Transmet moi une missive lorsque tu sera retabli.....se dit que cela lui laissera le temsp de demander l'autorisation a son Capitaine, et a son Altesse....
Lily s'apprcohe de lui, il se laisse faire

Non, cela ira rentrons chez nous....la regarde navré de lui avoir montrer se triste spectacle...et se rappel qu'ils ont aparler sériesement
Il la serre contre lui....

- Enchantée, Messire Breccan!

Observant son visage

- Je vous préfère tout de même démasqué, je dois bien l'admettre... Vous n'avez pas eu trop chaud, la dessous?

Le deux adversaires qui avaient échangés des propos virulents ainsi que quelques coups s'était quelques peu calmés... Breccan lui proposa un verre... Elle commençait à avoir la tête qui tournait, à cause des moult verres de prune qu'elle avait bu... Elle hésita...

- Heu... je ne sais pas si ça serait très raisonnable...

Mais elle jeta néanmoins un regard plein de convoitise sur les diverses boissons qui s'offraient à eux... on ne se refait pas

Lilynight le regardait inquiète, Kazert était vraiment mal en point. Elle devait le soigner. Elle êut un haut le coeur lorsqu'il demanda vengeance....Alors, ils vont en finir l'un de l'autre....se disait-elle. Elle prît peur.
Elle l'accompagna doucement vers la sortie. Repensant à ce qu'il venait de se passer. Ce qu'elle lui avait avouer. Ce qu'on attendait de lui et tant d'autres choses encore...puis le retour de Jerry et ce duel....elle en avait des frissons :

- Kazert, je suis navrée pour tout ce qui se passe, si j'avais su, je ne t'aurais rien dit. Je m'en veux de la tournure des choses. Mais j'avais pas le choix...Constatant son état ainsi que son regard sombre, elle préféra se taire...il fallait absolument qu'elle rentre le soigner...